Les chemins ont été un moyen de déplacement aussi bien pour les particuliers, les agriculteurs, les industriels. Dans le premier quart du 19e une taxe est même perçue pour l'entretien de ceux-ci.
Elle tenait compte du nombre de personnes "mâles, valides, âgés de plus de 20 ans, mais aussi du nombre de bêtes de trait ou de somme, de charrettes..."
Un certain nombre de chemins du secteur était concerné, notamment le chemin de la Gandonnière qui débutait près de Rouessé et menait au bourg de Grenoux. Il servait entre autre au carriers et chaufourniers. certains se procurait le charbon de terre dans les environs du Genest.
AD53 AC 22 extrait du cadastre napoléonien